La semaine se termine, il est temps d'extérioriser nos mauvais souvenirs télévisuels pour faire de la place à ceux de la semaine qui vient...
Il y a tant de programmes que vous/nous auriez/aurions dû éviter... Mais trop tard, le mal est fait...
Nos petits gars ont beau avoir des muscles partout, ils se sentent parfois un peu seuls sur les rings. Heureusement, d'autres les invitent dans leur groupe et ils fondent alors un groupe de joyeux drilles prêt à tout pour s'amuser/gagner des titres/tabasser/défendre. Ainsi, un petit point s'impose face à la déferlante de groupes dans le catch. Au passage, une petite piqûre de rappel des aînés pour leur apprendre le respect !
Thierry Lhermitte paye ses impôts grâce à la nouvelle série de TF1 : Doc Martin. Il y joue Martin Le Foll, un chirurgien lyonnais qui est soudain devenu incapable de supporter la vue du sang et qui devient médecin dans un bled "pittoresque".
Sans atteindre le niveau stratosphérique de la précédente, la cinquième saison de Dexter parvient à surprendre régulièrement, et surtout à continuer l'humanisation de son personnage principal sans pour autant ramollir le concept mordant du flic serial killer.
Le Poker After Dark, c'est du poker entre pros, dans l'intimité d'une salle privée. Sans doute la seule émission de "Poker reality", elle nous permet de mieux comprendre qui sont ces joueurs très connus et de voir précisément comment ils jouent. Comme souvent, on en ressort à la fois impressionné et déçu.
La TNA ouvre le bal des Pay Per Views et nous en met plein la vue. C'est notamment l'heure du bilan pour Fourtune et les Immortels qui vont défendre leur futur et tenter de faire main basse sur les titres de la TNA.
Spécialiste du mensonge, Cal Lightman est surtout un sale petit bonhomme impertinent, dont la quête de vérité en irrite plus d'un. Cerise sur le gâteau : il est incarné par Tim Roth.
Le sourcier de vérité nous fait ses adieux à travers une seconde saison pas exempte de défauts, mais remplie de bonnes idées. Une jolie blonde prénommée Cara n'y est d'ailleurs pas étrangère.
Produite par la même équipe que le Batman pop des années 60, la série consacrée à Green Hornet (traduit alors par Le Frelon Vert) n'a pas connu le même succès. Mais a permis à Bruce Lee de s'imposer auprès du public occidental.
Terence Hill dans un nouveau western ? Attendez, mais il doit avoir plus de soixante ans ?... Ah bon, presque soixante-dix ? Il est sûrement doublé dans toutes les scènes, et doit avoir l'air d'une momie ! Comment ça, « non » ?
La Fantasy revient sur le devant de la scène, dans son expression la plus connue. Néanmoins, la qualité du casting principal et la bonne volonté constante sont des raisons suffisantes d'apprécier et de suivre les aventures du sourcier de vérité et sa compagnie.
Sonny Crockett et Ricardo Tubbs infiltrent les gangs de Miami et jouent les sex-symbols. Une série-phare des années 80, coûteuse et soignée, mais qui apparaît aujourd'hui terriblement datée.